Qui veut être international chante son pays, ses lieux, ses totems, sa famille, sa chère patrie, son enfance, ses traditions, sa culture, son âge d’or. Qui chante la Bolivie célèbre ses contrastes, offre l’ode à ses paysages et ses communautés. Pas de nostalgie ni de fausses prophéties. Ne dit-on pas que le passé prend racine dans l’avenir, que les poètes ont toujours tort d’avoir raison.
En tous lieux, alors, l’impatience de vivre bien, de rendre sa grâce à la mémoire, sa noblesse au champ, son église au village, son patrimoine à la vie même. En tous lieux, d’autres temps, un temps pour le lien, un temps pour le savoir, un temps pour le travail. En tous lieux, enfin, le poumon vert et l’élan vital, le pneuma de la Terre-Mère, le souffle de l’humanité. Allons-y voir du côté de ces lieux-là.
Visites au parc d’écotourisme (moyenne annuel) 134.400 visiteurs.
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Plus de 80.000 patients pris en charge.
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Plus de 2.200 enfants et jeunes participants à nos ateliers.
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Un patrimoine vivant est un ministère et ne faut-il pas de grandes vertus pour soutenir la bonne fortune. Des vertus cardinales, qui nous obligent à la sagesse, au discernement, à l’initiation, mais aussi au trait de génie, à la découverte nouvelle. Ne prenons pas l’horizon pour les bornes du monde.
À l’horizon, le bien vivre — le buen vivir, le vivre à l’équilibre, prospère, solidaire et serein, à l’abri du besoin, aligné avec son environnement
À l’horizon, le lumineux savoir — le sapere aude, l’oeuvre universelle, émancipatrice, l’esprit d’ouverture, puisé dans l’expérience et la raison
À l’horizon, le commun Bien — l’esprit de famille, la fierté, le respect mutuel, l’amour du pays, la renaissance des traditions
